Descente Aux Enfers Dans LEsclavage Sexuelle
Descente aux enfers dans lesclavage sexuelle
Il y a quelques années Mireille et moi avions été invités chez un maître dominant dans le monde du sexe en Floride.
Voici un extrait de ce récit
Après avoir fait connaissance de ce maître sur un site internet nous avions finalement accepté son invitation à passer une semaine chez lui en Floride.
Nous étions à priori ouverts à tous
Nous avions simplement émis quelques règles très strictes. Il fallait que les personnes qui allaient être en contact avec nous soient totalement clean en termes de maladie sexuellement transmissible preuve à lappui, soient à 100 % bi, avoir une propreté irréprochable et nous refusions toute relation avec des jeunes, des animaux et tout ce qui pouvait être de loin associé à du scato.
Les règles étant établies nous pouvions alors nous soumettre entièrement.
Après avoir obtenu lengagement du maître, le jour du départ était programmé.
Cétait un 17 juillet.
Nous avions nos billets davion et la veille du départ nous avions eu un dernier contact avec notre maître (Allan) en ce qui concernait les consignes de voyage.
Nous devions avoir une seule valise pour nous deux car il nétait pas possible de venir en Floride sans bagage en soute. Nous avions donc mis quelques vêtements mais il nous avait interdit dy mettre des sous-vêtements.
En ce qui concerne nous vêtements de voyage, il avait été très clair. Mireille devait simplement porter une robe pull légère et courte. Elle ne pouvait pas porter de sous-vêtement.
Quant à moi, je devais porter un pantalon ample et une chemise sans sous-vêtement.
Avant le départ nous devions nous raser complètement (tout le corps) à lexception des cheveux de Mireille. Nous avions exécuté ses ordres la veille de notre départ en utilisant une crème dépilatoire à effet prolongé.
Nous avions la peau lisse comme des verts.
Nous étions hyper-excités rien que daller à laéroport sans sous-vêtement.
Dans le taxi, assis à larrière lexcitation de Mireille était palpable. Elle ne pouvait sempêcher de mettre sa main dans mon pantalon au travers de la braguette. Je devais lui dire darrêter car je bandais très fort et avec mon pantalon et sans slip, cétait très visible.
Lembarquement et le voyage se sont déroulés sans problème.
Arrivé à Miami et après avoir passé les formalités, nous avons repéré le maître tenant une pancarte avec nos 2 prénoms « Mireille & Stéphane ». Il faisait plus jeune que son âge. Nous lui avions donné 55 ans alors quil en avait 61. Il était grand bronzé et semblait être encore musclé (pour son âge).
Voilà nous ne pouvions plus faire marche arrière. Malgré lappréhension, nous étions très excités. Mireille me répétait depuis notre sortie de lavion quelle mouillait.
Allan nous a alors dit que nous devions prendre un taxi jusquau parking ou était stationné son mobil-home qui ne rentrait pas dans le parking de laéroport.
Je rentre le premier, suivit dAllan et ensuite Mireille.
Nous sommes tous les trois à larrière.
A peine le chauffeur avait-il démarré quAllan glissa sa main droite entre les cuisses de Mireille et la gauche dans mon pantalon.
Nous faisons preuve dun peu de réticence car nous sommes dans un taxi ! Il répond que ce nest pas grave, quil connait bien le chauffeur et quil est au courant que nous sommes ses esclaves sexuels invités pour une semaine.
A peine avait-il dit ça que Mireille et moi écartons spontanément les jambes.
Il nous dit quil est très satisfait de nous car il constate que nous sommes nu en dessous et bien rasé. Comme nous avions respecté ses ordres il allait nous récompenser ! Comment on nen savait rien
Le trajet dura à peine 10 minutes jusquau parking ou le mobil-home se trouvait.
Il paye la course au chauffeur qui sétait aussi bien rincer lil au passage !
Mireille était tellement excitée quelle avait bien dévoilé son intimité en remontant sa robe et en écartant bien les jambes.
Il met notre valise dans la soute extérieure du mobil-home et nous ordonne alors dentrer et de nous déshabiller et de lui donner nos vêtements par la porte nos vêtements ainsi que mon portefeuille et le sac de Mireille afin quil puisse aussi les ranger dans la soute.
Il précise quil nous rendra le tout sur ce même parking quand il nous reconduira à laéroport.
La semaine sannonce très chaude !
On sexécute sans poser de question. Heureusement les fenêtres sont occultées par des stores. Nous avons cette pudeur par rapport aux risques dêtre vu par des passants non impliqués dans notre trip.
Lintérieur du véhicule est dépourvu de mobilier que lon trouve habituellement dans ce type de véhicule. Il y a des armoires mais cela se limite à ça. Au sol, un matelas recouvrant toute la surface et recouvert dune sorte de sky / latex noir.
Il monte à son tour et sapproche de nous. Il nous dit quil est heureux de nous voir et quil va respecter toutes nos conditions.
Nous sommes soulagés dentendre ça. Allan nous dit quil veut maintenant vérifier la marchandise. Il sapproche dabord de Mireille lui palpe les seins, elle écarte les jambes il la doigte légèrement. Moi voyant cela je me masturbe. Cest trop bon déjà de la regarder se faire tripoter par cet inconnu. Il se met ensuite à genoux.
Spontanément Mireille écarte ses lèvres pulpeuses avec ses mains afin de laisser apparaître son clito.
Il la lèche.
Elle adore, ça se voit. Sa respiration saccélère.
Il se détourne ensuite de sa chatte et commence à me sucer tout en me doigtant
. Cest trop bon.
Nous navons pas encore démarré quon senfonce déjà dans un monde de totale soumission.
Il nous demande ensuite de nous mettre à 4 pattes. Je regarde Mireille et lui dit « je pense quil va déjà nous baiser ».
Je me trompe. Il nous lèche juste lanus à tour de rôle. Cest bon, cest si bon que Mireille est presque en train de jouir.
Après 10 minutes, il sarrête et nous dit quil est lheure de démarrer car nous avons une heure de route.
Il sinstalle au volant et démarre.
Nous sommes tellement excités que nous décidons de baiser. Mireille se couche sur le dos et je commence à la pénétrer. A ce moment Allan nous dit darrêter car il ne veut pas que nous jouissons maintenant.
Il nous ordonne de prendre le flacon dhuile dans larmoire du haut et de nous enduire complètement.
Nous nous exécutons. Jenduis Mireille partout de la tête aux pieds en mattardant dans son anus et sa chatte. Elle fait de même avec moi.
A ce moment il se retourne vers nous et dun air satisfait nous dit de mettre les colliers qui sont sur le sol autour du cou, poignets et chevilles et de les fermer avec les cadenas. Naturellement il ny a pas de clé
A ce moment en se regardant nous comprenons le monde dans lequel nous venons dentrer.
Nous allons être de vrai esclave sexuelle qui vont certainement être jeté en pâture à dautres pervers.
Un peu de stress nous envahit tout comme cette excitation qui monte qui monte
Avec toute cette excitation nous navions pas vu quil ne portait plus son short et quil était juste avec son t-shirt.
Il nous demande alors de venir le sucer à tour de rôle pendant quil conduit.
Mireille commence. Elle commence dabord par le masturber un peu avec ses petites mains tout en fixant ce gros gland. Je remarque que cest un gros mouilleur. Il y en a plein qui sort. Elle se retourne vers moi et me dit « tu vois il mouille comme toi, jadore ça »
Dubout de sa langue elle récupère cette mouille abondante.
Après avoir bien léché ce gros gland, elle lenglouti en bouche et le tète.
Elle prend beaucoup de plaisir à téter cette bite et gémit.
Il apprécie et son érection en est la preuve. Il bande très fort. Sa bite est grasse et longue.
Elle se retire et dit cest à toi mon amour ! Mmmm je continue son travail.
Nous devons maintenant arrêter car nous arrivons. Nous voyons une propriété entourée de palissade et une grande barrière. Un black torse nu et en short vient ouvrir.
Nous rentrons dans la propriété.
Nous sortons du mobil-home et nous constatons que lendroit est très beau et privatif.
Personne ne peut voir de lextérieur. Il y a une grande piscine, une belle pelouse bien entretenue, des palmiers une balancelle sur laquelle 2 sling sont pendus.
Le black qui avait ouvert la grille vient vers nous. A peine arrivé il enlève son short et laisse apparaître une belle grosse et longue bite de noir.
Il est plus jeune quAllan, je dirais 50 ans voir un peu moins.
Allan nous le présente. Il sappelle Ahmed et est très souriant.
Il nous matte de la tête aux pieds.
Nous sommes là debout devant eux comme de simples objets sexuels.
Dans ses mains 2 petites laisses en chaine quil sempresse dattacher sur nos colliers et remets les autres extrémités à Allan.
Il nous invite à le suivre en tirant légèrement dessus.
Il nous dit quil va nous montrer la propriété. Il nous précise que dans cette enceinte, nous devons dès à présent satisfaire toutes les demandes qui nous seront faites par tous ceux que nous croiserons.
Ahmed est juste derrière nous et nous dit en marchand que lon va vivre lexpérience desclavage sexuel et de soumission de notre vie car sans limite !
Mireille lui réponds que nous sommes là pour ça. Je confirme.
On arrive au niveau des palmers et de la balancelle à slings.
Allan nous oblige à nous installer. Ahmed nous attache les bras et les chevilles de telle sorte que nos jambes sont bien écartées.
Ahmed se met directement à genoux et lèche Mireille comme un chien en chaleur. Moi je suis le spectateur impuissant.
Ma femme va ouvrir le bal. Il écarte bien les lèvres de Mireille et enfonce sa grosse langue dans sa chatte. Elle gémit comme une vraie salope !
Soudain je lentends dire entre ses gémissements « baise moi salaud ! »
A peine avait-elle dit ça quAllan lui massant les seins lui crache à la figure en disant « ici tes une pute comme ton mari et tu nas rien à dire
. Je ferai de vous ce que je veux et quand je veux »
Ça commence bien !
Ahmed se relève brusquement, sa bite est raide. Mon dieu elle est énorme ! il dit « ok petite pute je vais te défoncer la chatte » .il lembroche.
Mireille gueule de plaisir. Jassiste au spectacle. Sa bite entre et sort rapidement on dirait quil va jouir !
Mireille ne sait plus où elle est, elle jouit presque en permanence.
Soudain Allan dit a Ahmed « stop ne décharge pas dans sa chatte, elle est à moi et cest moi qui doit la baptiser ! » « Occupe-toi de Stéphane ! »
Ahmed se retire et Allan prend sa place.
Je ne sais même pas si Mireille sen est rendu compte car elle me paraît comme e de plaisir.
Allan la laboure littéralement. Ahmed viens vers moi et me dit « alors tu croyais quon nallait pas soccuper de toi » je lui réponds spontanément « je suis à votre disposition maître »
Il sourit et commence à se frayer un passage dans mon cul.
Cest un peu douloureux mais il est délicat tout en me disant quil doit aussi me préserver pour le reste de la semaine.
Ça y est, il est en moi. La douleur passée cest divin de sentir et voir sa bite entrer en moi.
Il me félicite pour létroitesse de mon cul « ta chatte de pute est super bonne ». Il me laboure, sa respiration saccélère. Il va jouir. Il magrippe fermement et se calle au fond de moi en poussant de grand râle. Putain il décharge.
Jarrive à bien sentir les décharges de son foutre menvahir les entrailles.
Allan pousse aussi de grands râles il est en train de remplir ma femme de sa semence.
Mireille se retourne vers moi et dit dun ton exténué « putain cétait trop bon, pour toi aussi mon amour » je lui réponds idem.
Ahmed se retire et me crache sur la bite avant de la masturber un peu. Je suis raide et Mireille regarde. Entre-temps Allan lavait détachée et tout en me regardant me faire branler la voilà quelle se masturbe. Je vois le foutre dAllan sortir de sa chatte.
Ahmed arrête de me branler juste avant que je néjacule. Il me détache.
Allan nous dit alors que nous avons le reste de la journée pour nous reposer avant le dîner mais que nous devons rester ouvert et disponible pour quiconque viendrait dans la propriété.
Il doit être plus ou moins 16 heures.
Nous avons interdiction de nous doucher pour le moment. La chatte de Mireille et mon cul dégouline de sperme.
Nous nous installons sur deux transats au soleil. Nous profitons de ce repos bien mérité.
La chaleur du soleil sur notre corps fait du bien. Nous profitons.
Après une bonne heure au soleil, nous sommes sortis de notre relaxation par 2 voix qui nous saluent.
Nous ouvrons les yeux. Devant nous un couple de vieux à poil.
Ils doivent bien avoir plus de 60 ans, tous deux sont minces et bien proportionnés.
Nous les saluons. Le mec nous dit quils sont des amis dAllan.
La femme nous demande alors de nous lever pour quils puissent sinstaller sur les deux transats. Nous leur cédons notre place et en se prenant la main nous commençons à nous éloigner du couple.
Cest alors que le mec nous demande ou nous allons. Je réponds que nous allons nous balader un peu.
Il rétorque que nous navons pas la permission et ordonne directement à Mireille de le sucer.
Elle se positionne à genoux et obéissante elle commence à le sucer. Jaime la regarder sucer un étranger. La femme minterpelle alors et me demande ce que jattends pour la lécher.
A mon tour je me mets à genoux et commence à la lécher puis à lui sucer son clitoris.
Elle mouille bien pour son âge.
Sa chatte à très bon goût. Jenfonce bien ma langue dans son intimité.
Elle me dit que je suis doué. Jentends son mari lui dire que Mireille est très douée.
Nous nous appliquons dans notre rôle desclave. La respiration de la femme saccélère, elle va jouir, oui elle vient, elle tient fermement ma tête je lui aspire son clitos. Ça y est, elle jouit et tout en jouissant elle décharge un jet de pisse. Cest humiliant mais assez excitant.
Je me retire et observe Mireille qui est toujours bien appliqué.
Cest alors que le mec lui dit quil va bientôt juter mais que Mireille ne doit pas avaler mais garder sa semence en bouche car il veut nous voir nous embrasser avec son jus.
Mireille sapplique je vois que le mec jouis. Visiblement il y en a bcp Mireille doit faire des efforts pour tout contenir en bouche. Elle se relève et viens membrasser sur la bouche.
Nos langues se mélangent dans ce sperme blanc et épais. On sembrasse passionnément tout en avalant son foutre. Nous adorons.
Nous avons fini. Il nous demande douvrir la bouche pour et lui montrer que nous avons tout avalé.
Nous nous exécutons. Il nous remercie.
Nous puons le sexe. Du sperme dans la chatte de Mireille, dans mon cul et maintenant dans nos bouches
la descente aux enfers commence !
Le couple nous fait signe que nous pouvons disposer. Je dis à Mireille que jai soif. On se dirige alors vers lentrée de la villa pour aller nous chercher à boire.
A lentrée, deux jeunes ouvriers mexicains sont en train de tailler les arbustes. Ils ont la bonne trentaine.
Mireille naime pas trop les plus jeunes quelle, mais soit elle se laisse bien mater et est en plus provoquante en se pinçant les tétons. Quelle salope ma femme.
Les deux mecs sapprochent de nous. Lun me regarde et dit « ta femme est une belle salope » Je ne peux que confirmer.
Je dis alors aux mecs. Vous savez ce quelle aime ?
un sandwich. Servez-vous et montrez-moi que vous la faites jouir !
Mireille me réponds, ces gars-là ne font certainement pas partie du clan dAllan, ils sont trop jeune !
Je lui réponds « je men fou tu les as provoqués, maintenant tu les satisfais »
Il na pas fallu une minute pour que les deux mexicains avaient sortis leur bite de leur salopette et obligé Mireille à les pomper. Après quelques instants lorsquils fussent bien raide le premier se couchât sur lherbe et tira Mireille pour quelle vienne sempaler sur sa bite. Le deuxième suivi et lencula.
Cest trop bon de la regarder de faire défoncer. Elle crie de nouveau de plaisir.
Je la regarde par derrière et matte ces deux bites lui labourer les orifices.
Elle est de nouveau en train de jouir. Ce nest pas possible !
Allan ayant entendu ces cris sort de la maison, observe le spectacle et me demande alors de me présenter à elle pour quelle me suce ?
Elle agrippe ma bite et me pompe divinement bien. Je jute en 30 secondes. Elle avale tout.
Je suis fatigué.
Les deux mexicains jouissent à leur tour elle se relève et vient se coller à moi.
Allan mordonna alors de la nettoyer.
« Aller Stéphane, lèche moi tout ce foutre qi sort de ta femme » Mireille se couche dans lherbe et je mexécute comme un bon esclave. Il y a plein de foutre et moi javale javale.
Cest trop bon.
A suivre
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